Au moment où Greenpeace préconise la diminution de 80% des GES (Gaz à Effet de Serre) d’ici 2050, où les réserves pétrolières sont décroissantes et que le stockage des déchets nucléaires posent problème, le H2 Project réfléchit sur l’Hydrogène comme facteur d’énergie durable.
La solution que nous privilégions est l’énergie marémotrice
qui s’appuie sur les courants marins : l’énergie hydrocinétique
et sur le mouvement des vagues : l’énergie houlomotrice.
Comment rapatrier cette électricité en limitant les pertes ?
Comment la produire et la stocker à grande échelle ?
Nous avons donc imaginé une plate forme maritîme (1)
à
laquelle serait reliée une ferme houlomotrice (2)
et une
ferme d’hydroliennes (3).
On aurait donc une production d’électricité propre,
minimisant le risque de rupture des câbles et la perte
d’électricité.
L’électricité produite serait acheminée dans un sas rempli d’eau
de mer. Celui-ci serait le lieu de production d’hydrogène
grâce à la technique de l’électrolyse. L’hydrogène produit
serait stocké dans des futs, dans une usine de compression.
L’un des principaux atouts du H2 PROJECT est de produire
l’hydrogène dont le panel d’utilisation est immense, tout en
utilisant diverses énergies vertes dans la chaîne de production.
L’électricité produite ne peut être stockée. Elle est instantanément consommée ou perdue. Les batteries présentent des inconvénients : poids, coût, faible productivité, dangerosité. Mais l’hydrogène se présente comme un vecteur d’énergie et peut être stocké selon différents processus.